Face à ce constat, les mouvements en faveur d'une agriculture alternative commencent à prendre de l'ampleur et à s'organiser. A l'initiative de sociétés privés, de syndicats professionnels ou encore de consommateurs, les labels et certifications voient progressivement le jour :
D'autres comme Biodyvin ou Terra Vitis par exemple sont spécifiques à la viticulture.Si chaque démarche répond à des contraintes particulières, leur objectif commun est de redonner du sens aux méthodes de production en confrontant à l'agriculture productiviste des méthodes de production respectueuses de la nature, de la terre, de la plante, mais aussi du consommateur.
Faire le choix d'une démarche éthique, c'est prendre des risques !
En adhérant à ces modes de production alternatifs, les vignerons prennent différents types de risque :
Pourtant, les vignerons sont de plus en plus nombreux à franchir le cap. On estime aujourd'hui à environ 15% la part du vignoble alsacien géré en agriculture biologique. Amoureux de l'Alsace et amoureux de cette terre qui leur offre tant, ces vignerons ont à coeur d'élaborer des vins de qualité capables de retransmettre le plus fidèlement possible les qualités de leurs cépages et la personnalité de leurs terroirs.
Alexandre - Vinetik Alsace
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